big band de l armée de l air
Publié 16 Octobre 2014 à 19h29 Temps de lecture: 3 min Partage : C ’est devenu un rendez-vous incontournable sur le Plateau picard. Le
Lhymne de Marlene Dietrich. Ainsi, « Lili Marleen » résonne dans les deux camps. La chanson est devenue le symbole de la Seconde Guerre mondiale, voire même de sa bêtise. Elle devient un hymne pour la fin du conflit grâce à une Allemande farouchement anti-Nazis. Marlene Dietrich déteste le Troisième Reich.
Leconcert Swing Bones & Nicolas Gardel est au programme du festival Cruis En Jazz 2022.. 06 août : Swing Bones & Nicolas Gardel. Pour leur second projet « La part des anges », les Swing Bones se lancent dans l’écriture d’un nouveau répertoire aux côtés de Nicolas GARDEL, trompettiste toulousain talentueux et ami de longue date.
Lassociation Jazz sur les quais invite le big band de l'Armée de l'air en concert, vendredi 31 mai, au théâtre à l'Italienne. « Créé en 2005, le grand orchestre de jazz de l'Armée de l
OrchestreJazz de l'Armée de l'Air Stan Laferrière, compositeur, arrangeur, pianiste et chanteur figure à la tête du big band. Son expérience et sa renommée dans le monde du jazz sont à la hauteur de sa mission.
Site De Rencontre Belge Gratuit Pour Femme. Publié le 17/08/2011 à 0h00 Jérôme Etcheberry a lancé son dernier album, jeudi soir, avec Fred Couderc devant une salle comble. Il y a longtemps que les amateurs de jazz attendaient la venue de Jérôme Etcheberry et, jeudi dernier, il était sur la scène de l'Espéranza à l'invitation de l'association Bassin Jass. Il a profité de l'occasion pour faire découvrir à une salle comble son dernier album Ecce Berry ». Il avait réservé une surprise, la venue d'un autre Testerin, le saxophoniste Fred Couderc. Ils ont retrouvé leur complicité de leurs débuts, ils ont fait un bœuf qui a enthousiasmé le public qui n'a pas ménagé ses applaudissements. Ils ont tous deux suivi l'école de musique de La Teste avant de passer par le conservatoire et d'embrasser leur carrière de musiciens professionnels. Ils ont évoqué leur passage au Carnot puis au Kérozen, établissements aujourd'hui disparus. Cette soirée était un peu particulière avec de l'émotion et surtout beaucoup de talent ; dans la salle, on a remarqué la présence de musiciens de l'orchestre d'harmonie et Pierre Ballue le directeur du conservatoire de musique de La jazzman Jérôme Etcheberry connaît son public et a su le faire entrer dans son jeu avec qui est Jérôme Etcheberry ? Natif de La Teste, il a suivi les cours de l'école de musique avant d'entrer au conservatoire, où brillant élève il obtient un certificat de fin d'études en formation musicale du CNR de Bordeaux, une médaille de bronze de cornet à piston et un diplôme d'État de professeur de musique, option… a débuté sa carrière professionnelle à Bordeaux au sein du big- band de l'armée de l'air avant d'intégrer pour trois ans la formation des Haricots Rouges et de s'établir à Paris, où depuis il multiplie les expériences musicales ainsi que les enregistrements avec Marc Lafferière, Evan Christopher, Louis Mazetier, Bob Wilber, Claude Tissendier… Il est l'un des meilleurs spécialistes dans l'univers du jazz européen. Après le succès de l'album Jazz River » paru en 2005, Jérôme Etcheberry livre aujourd'hui un album plus personnel intitulé Ecce Berry », traduire Voici du nouveau ».Jouer à domicileEn s'efforçant de prolonger l'héritage des trompettistes l'ayant le plus marqué, sur une période qui va des années 20 à 50, il rend hommage à de nombreux le concert, il avoue J'ai plus le tract de jouer ici chez moi devant mes paren ts, mes amis que demain sur la scène de Marciac. »Pierre Ballue, très satisfait, déclare C'est un excellent concert avec de fabuleux musiciens. Jérôme possède un phrasé exceptionnel tout en délicatesse et on a eu la chance d'avoir Mourad Benhamou, ce qui se fait de mieux à la batterie. »Le prochain concert de Bassin Jass à l'Espéranza est fixé au samedi 27 août pour un duel entre deux saxophonistes ténors, Alex Golino et Stéphane Barbier.
22 Jun 2022 Festivals En arrivant dans l'enceinte du Fort Kléber, à Wolfisheim, il m'a semblé que cette structure belliqueuse pourrait encore vivre quelques batailles. Cet ancien fort de la Deutsches Heer a été racheté par la commune dans les années 2000, et accueille depuis douze ans maintenant le Wolfi Jazz Festival. Aujourd'hui, beaucoup de manifestations jazzistiques relèvent du combat de haute lutte. Qu'en est-il à Wolfisheim, et contre quoi s'acharnent ces amoureux du jazz ? Je tâcherai d'y répondre durant mes trois jours au front. En première partie, l’Amazing Keystone Big Band lance l’assaut. Ce mercredi 22 juin 2022, c’est l’Amazing Keystone Big Band qui lance l’assaut, et ouvre la douzième édition du Wolfi Jazz Festival, sur la grande scène de l’Esplanade. Les 17 musiciens fêtent eux aussi leur douzième anniversaire avec quelques compositions de Django Reinhardt. Le projet Django EXTENDED avait vu le jour il y a quelques années suite à une commande du Festival Django Reinhardt, et l’ensemble avait pu retrouver des invités de renom, comme Stochelo Rosenberg, Thomas Dutronc ou le regretté Didier Lockwood qui n’est autre que le beau-père de David Enhco, trompettiste et membre fondateur de l’Amazing Keystone. Ce Big Band ne manque pas d’idées, car j’avais pu le rencontrer autour du projet We Love Ella », où Célia Kameni devait incarner Ella Fitzgerald, incarnation périlleuse qui ne m’a laissé que de vagues souvenirs. Ici, l’enjeu est tout autre faire swinguer le jazz manouche avec une formation tout à fait originale, explorer le répertoire de Django sous toutes ses coutures, et le réinventer, pour l’étendre Extended » au-delà du quintette. Un solo du déchaîné Thibaud François. Evidemment, par quel morceau commencer ce concert d’anthologie, sinon Djangology ? Ce standard swingue comme aucun autre, et suffit à démontrer les capacités du Big Band en matière de swing. Cette composition à quatre mains et dix-huit doigts, puisqu’imaginée avec Stéphane Grappelli, semble pouvoir vivre sans les guitares rythmiques, sans violon, sans tambour ni trompette. Ah non, il y a tout de même les tambours de Philippe Maniez, et quatre trompettes d’exception Vincent Labarre, Thierry Seneau, Félicien Bouchot et David Enhco. Outre le swing, une autre présence se fait sentir, en quantité suffisante pour un hommage à Django Thibaud François et son archtop. Celui-ci est généreusement intégré dans les arrangements, des arrangements parfaitement ancrés dans les années 1940, faisant écho à ceux de Stan Kenton, ou plutôt, pour rester dans l’hexagone, à l’orchestre de Christian Chevallier. Faire goûter les compositions de Django au Big Band, c’est peut-être le plus bel hommage qu’on puisse lui faire, lui qui, adulant Duke Ellington, avait effleuré son orchestre lors d’une tournée américaine en 1946, mais avait été laissé pour compte dans les arrangements du Duke. Cette science de l’arrangement nous est peu à peu dévoilée, comme se dévoilent les musiciens au fil des solos. Dans Troublant Boléro, on découvre l’élégant Noé Huchard, qui remplace l’habituel Fred Nardin. Un medley mêlant Impromptu, Mike et Babik offre des solos frénétiques de la part de Kenny Jeanney saxophone, David Enhco trompette et Philippe Maniez batterie. L’ambiance change du tout au tout avec Rythmes Futur. Une composition moins connue de Django, par laquelle le Big Band veut commémorer sa curiosité. En effet, on sent ici le contact du Bop avec ce morceau complexe, véloce, que l’orchestre complexifie encore, on ne sait plus où donner de la tête, et le reste du big band reste perplexe face aux conversations très libres que mènent le guitariste, le batteur et le pianiste, sous nos oreilles ébahies. Cette fois-ci, on pourrait croire que les arrangements ont été piqués à Stravinsky, et ces pulsations de cuivres donnent envie de se lancer dans une Danse de la terre. On poursuit dans le registre bop avec Anouman, très hard bop cette fois-ci, et de remarquables solos de saxophone par Bastien Ballaz et Jon Boutellier. Jon Boutellier, sur le devant de la scène. Avec Belleville, on croit que c’est fini… Tête-en-l’air, ils sont 17 à avoir oublié de jouer LE morceau de Django. Celui que tout le monde connait, le somptueux Nuages. Ce concert d’ouverture se clôt sur un mystérieux solo de David Enhco, et le fantôme de Wallace Roney passe parmi nous. Kimberose, une voix aux influences démultipliées. Photo Gnik DR La deuxième partie de la soirée se fera dans un tout autre registre. La jeune chanteuse française Kimberly Kitson-Mills, qu’on retrouve sous le nom de Kimberose avec une formation éponyme, composée d’un batteur Rémi Ferbus, d’un claviériste Timothée Bakoglu, d’un bassiste Jérémy Louwerse, d’un guitariste Paul Parizet et d’une autre vocaliste Prisca Vua, compte nous emmener, avec les compositions de son dernier album, OUT », sur les traces de son cheminement musical. On retrouve ainsi, au fil des morceaux, des bribes de Motown des années 1960, portées par des trémolos d’orgue, puis des vagues de rock, de pop neosoul plus actuelle The Secret, des rythmes reggae Blah Blah, un gospel Keep On Loving et même des influences clairement nommées, comme la chanteuse Lauryn Hill et les Fugees, et l’ère R’n’B en général. On tape du pied, d’abord, puisque celui-ci est propulsé par les vibrations de la basse 808, qui feraient presque trembler l’Armée Impériale. Les musiciens font le show, la chanteuse arrive à faire se lever l’assemblée, qui trépigne, chante parfois, et semble plutôt emballée par la jeune chanteuse. L’ensemble est finalement assez homogène, puisque toutes ces compositions sont reliées par un dénominateur commun, la voix de Kimberose, une voix pleine de ressources, perçante, comme celle d’Amy Winehouse, au trémolo maîtrisé, dans la tradition des chanteuses de soul. Un public conquis. Photo Gnik DR Walden Gauthier Crédits images Wolfi Jazz Festial DR, Gnik DR, Walden Gauthier VOUS AIMEREZ AUSSI Le Jazz Live le 30 Oct 2015 Jazz sur son 31 retour sur l’édition 2015 Le Jazz Live le 26 Oct 2016 Le Multiquarium Band de Charlier-Sourisse au Pan Piper Le Jazz Live le 07 Aug 2017 Marciac 3 Un jazz tricolore et féminin pluriel Brève de jazz Adieu à Daniel Farhi Nous venons d'apprendre la disparition de Daniel Farhi. Cofondateur avec son frère Alain du premier New Morning, à Genève en 1976 avant d’être transplanté à Paris, cet infatigable passionné, à qui l’on doit l’une des plus belles aventures du jazz, est décédé vendredi à l’âge de 77 ans. Chick Corea s’en est allé C’est avec une grande tristesse que nous venons d'apprendre la disparition du légendaire pianiste Chick Corea, à l'âge de 79 ans. Sideman inoubliable, leader à nul autre pareil, il n'avait jamais cessé de partager les musiques auxquelles il avait dédié sa vie. Dispositif Jazz Migration vous avez jusqu'au 15 janvier 2021 pour proposer votre candidature au dispositif Jazz Migration et bénéficier d'un accompagnement artistique et professionnel ainsi que d'une tournée en France et en Europe. EN KIOSQUE 20220801 - N° 751 - 84 pages C’est une chanteuse et une musicienne d’exception, une poétesse et une compositrice hors normes. Entre le jazz et le folk,...
Un soldat, guitare à la main, attend de monter à bord d’un avion à destination de Hawaï, en 1969. © AP Images Que ce soit pendant l’entraînement ou les mouvements de troupes, la musique fait partie intégrante de la vie des soldats depuis des siècles. À la voix humaine et aux tambours se sont ajoutés au fil du temps les fifres, clairons, violons et banjos. Dans les forces armées américaines, il est un type de chant rythmé, dit cadence calling ou simplement cadence en anglais, qui fait partie du quotidien des soldats. Outil de cohésion, ces cadences aident les soldats à avancer ensemble pendant les marches. Vous en avez probablement entendu dans des films américains. À la tête d’un groupe de soldats qui marchent au pas, voire au pas de course, le sergent instructeur crie à tue-tête la première ligne d’un chant qui reflète les valeurs culturelles de la vie militaire. La troupe la reprend en chœur, et l’instructeur entonne la deuxième ligne. L’humour n’est pas exclu. En voici un exemple “Took away my faded jeans/now I’m wearing Army greens” On m’a pris mon jeans délavé/je porte maintenant le vert de l’armée. Un sergent de l’US Army fait marcher ses soldats au pas pendant des exercices à Fort Hamilton, New York, en 2009. © Chris Hondros/Getty Images D’un point de vue culturel, il n’y a rien de plus militaire que ces échanges rythmés », déclare William McLaughlin, un ancien de l’armée de terre qui est aujourd’hui conservateur au Musée national de l’armée de l’air des États-Unis. Les cadences, au tempo rapide, donnent une idée de ce que va être la vie militaire ». Dans bien des cas, elles reprennent des éléments de la musique africaine américaine et européenne-américaine. Historiquement, les chants militaires rappellent les complaintes des Africains Américains asservis et des prisonniers, évoquant un mode de vie laborieux et physiquement éprouvant », écrit Travis G. Salley, qui a étudié la musique militaire à l’université du Massachusetts à Amherst. Déjà à l’époque de la révolution américaine, les soldats marchaient au son des fifres et tambours, une tradition européenne qui remonte au XVe siècle, en Suisse. C’est à partir des années 1850 que les soldats se font inculquer les mouvements précis de la marche militaire. À l’époque, on leur demandait de mettre du foin hay dans leur chaussure gauche, et de la paille straw, dans la droite. D’où la rengaine “hay-foot, straw-foot”, pour leur dire de mettre le pied gauche en avant d’abord, puis le droit. Aujourd’hui, les chefs de troupe préfèrent généralement les chants que les soldats reprennent en écho et qui reflètent soit la personnalité du chef, soit la mission de l’unité. Non seulement ces cadences aident les troupes à rester en formation, mais elles présentent aussi l’avantage de synchroniser la respiration, ce qui a un effet positif sur la forme physique du soldat. En outre, le fait de chanter ou de scander des paroles est bon pour le moral, encourage l’esprit de corps et rend les tâches ingrates moins pénibles. Le sergent-chef de l’US Army Rodrigo Villagomez se produit avec un contingent rock de la fanfare de la 40e division d’infanterie à Los Alamitos, en Californie. Air National Guard/Staff Sergeant Crystal Housman À une certaine époque, les chants shanties, en anglais rythmaient le travail des matelots américains quand ils halaient les cordages ou viraient au cabestan. Ainsi, tout le monde tirait ou poussait en même temps, ce qui avait pour effet de synchroniser les efforts et produire de meilleurs résultats. Une personne, le shanty-man, se tenait au-dessus de l’équipe de travail et entonnait un couplet, et les matelots chantaient la suite. Au dernier mot de chaque ligne, ils donnaient un coup de collier. Jadis, une grande partie du travail de la marine était un travail manuel et d’équipe, et, en chantant, tout le monde suivait le même rythme pour accomplir une tâche », explique Loras Schissel, spécialiste de la musique à la Bibliothèque du Congrès et ancien membre de l’US Navy. Il existe des moments musicaux célèbres sur le champ de bataille. Pendant la Première Guerre mondiale, par exemple, des soldats des deux camps sur le front occidental ont brièvement déposé leurs armes et entonné des chants de Noël. Ils ont quitté leurs tranchées et partagé des vivres, des jeux et un moment de camaraderie. Selon Jane Cross, archiviste musicale à la Bibliothèque du Congrès et qui a servi dans le corps des Marines, la musique militaire s’est éloignée des chants de tranchées lors de la Seconde Guerre mondiale. Ce changement a été influencé notamment par les big bands américains qui ont introduit l’ère du swing. Les gens dansaient plus qu’ils ne chantaient », explique-t-elle. Quelque 6 500 musiciens jouent dans 130 orchestres représentant les cinq corps de l’armée américaine l’armée de l’air, l’armée de terre, la garde côtière, les Marines et l’US Navy. Ils se produisent dans le monde entier, pour le grand plaisir des soldats comme des civils. Le Marine Band*, que le Congrès a été fondé en 1798, a la particularité d’être la plus ancienne organisation musicale professionnelle américaine qui soit restée en activité sans interruption. Mais les militaires chantent aussi pour tromper l’ennui ou se divertir. Aujourd’hui, ils préfèrent la musique pop ou les chansons folkloriques classiques. Écoutez ce membre de la Garde nationale chanter la ballade The Wayfaring Stranger, a cappella, pendant un moment de repos dans son unité. *en anglais
Nos valeurs définissent qui nous sommes. Elles sont le fondement de notre communauté. Elles guident nos actions et notre comportement. Elles nous permettent d’avancer, ensemble, dans la même direction. Devenir Aviateur, c’est travailler dans un climat de confiance et de dialogue. Devenir Aviateur, c’est être responsable de l’autre dans chacun de ses actes. Devenir Aviateur, c’est donner du sens à son engagement. Devenir Aviateur, c’est viser l’excellence, car la complexité des missions aériennes implique rigueur et capacité d’innovation. Chaque jour, vous serez amenés à prendre des décisions, à faire des choix qui ont une incidence directe sur la vie quotidienne de nos concitoyens. Ces valeurs communes vous permettront d'agir en vous basant sur des principes partagés par tous. Le respect de l'Institution, des règlements, des missions, des femmes et des hommes le respect mutuel des Aviateurs est à la base de la confiance et au coeur du dialogue. Il donne du sens à l'engagement des Aviateurs pour l'armée de l'Air et de l'Espace. L'Aviateur est au service de la mission de ses concitoyens, de la Nation. Elle implique que chacun dans ses actes est responsable de l'autre la réussite des missions tient dans l'interdépendance entre les hommes. C'est le sens des responsabilités qui guide l'action. Elle est le credo de l'Aviateur. Elle s'exprime dans la complexité des missions aériennes qui exigent rigueur et capacité d'innovation permanente.
Officially established shortly after the WW2 in 1945 it got its final name through a merger of the 'Muziekkorps Commando Luchtvaarttroepen' and 'Muziekkorps van het Regiment Stoottroepen' in 1951. It is now one of the three remaining professional military orchestras of the Netherlands. The orchestra is mainly known for its popular theatre shows and repertoire. Conductors 1946 - 1951 Mensing 1951 - 1976 van Diepenbeek 1976 - 1981 Bep Hubertus Willem Abraham Christiaan Warnas 1981 - 1991 Lex Van Diepen Sr. 1991 - 1994 Henk Heins 1994 - 2015 Jos Pommer 2015 - now Jasper Staps
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